Comment j’ai retrouvé l’envie d’enseigner

Je suis professeur de mathématiques depuis 2008.

En 2018, j’attaque pour la deuxième année consécutive un poste partagé entre deux établissements : plus de 500km par semaine, deux fois plus de réunions, souvent pas le temps de manger dans la journée (je finis à 12h25 d’un côté, je dois attendre que tous les élèves soient sortis, répondre aux dernières questions, fermer la classe, préparer les photocopies pour ma prochaine heure de cours dans cet établissement), je commence à 13h30 de l’autre côté et évidemment j’ai ma salle à préparer avant 13h30. Je réserve une chambre d’hôte près de mon établissement le plus éloigné les soirs de conseils de classes, par peur de m’endormir sur la route.

Le matin, impossible de manger car tout simplement il est trop tôt, et j’ai besoin de prendre mon temps 🙂 un café ça passe, et c’est tout.

Bilan :

– à midi j’ai une réserve de crasses dans ma voiture, que j’arrive à manger en conduisant ; en fin de journée scolaire je suis complètement épuisée, j’ai une sensation de « cerveau qui flotte » tout le temps

– je suis fatiguée, tout le temps, tellement, j’en ai marre et je n’apprécie plus du tout d’aller en classe, j’en ai marre de répéter les mêmes choses, j’en ai marre que les élèves ne comprennent rien… d’ailleurs, il y a même certains élèves que je ne supporte plus du tout. J’en ai marre de corriger, je passe beaucoup trop de temps sur mes copies et j’ai parfois besoin de lire plusieurs fois ce que je suis entrain de faire tellement mon cerveau n’a pas envie d’être là.

– je cumule les arrêts maladie : fragilisée, j’attrape tout ce qui passe, et au contact de nombreuses classes, l’exposition aux virus est réelle, tous les gens qui exercent un métier où l’on côtoie des centaines de personnes le confirmeront.

– j’ai la sensation de courir partout, tout le temps, et de perdre un temps fou à cause de cette situation : mon temps de travail personnel ne peut plus être fait dans la journée car je passe mon temps à courir d’un établissement à l’autre, et quand je travaille le soir en rentrant chez moi mon cerveau flotte de fatigue et je me retrouve à passer quatre fois plus de temps qu’à l’habitude

– je dois passer toute mes soirées ainsi que la plus grande partie de mes week-ends à mon travail personnel, je refuse toutes les sorties le dimanche pour être sûre d’être le plus possible en forme pour la semaine qui arrive, je me préoccupe H24 de minuit à minuit de savoir si mes cours sont assez parfaitement rédigés, si j’ai préparé assez de corrigés d’exercices, si j’aurai le temps de terminer mes corrections à temps, si j’ai assez d’éléments pour être performante dans mes commentaires pour les bulletins scolaires, si je serai assez en forme pour être à la hauteur des attentes des parents de A ou de B que je dois rencontrer… Quand aux vacances, je ne m’en accorde presque pas, ou ce sera avec mes livres, mes stylos rouges, mes copies…

Bref, j’en ai marre, je me sens de moins en moins patiente en classe, j’ai des erreurs qui parviennent à s’infiltrer dans mes documents pédagogiques malgré plusieurs relectures (ben oui quand le cerveau flotte, il flotte, pas moyen de lui faire confiance le bougre). J’ai envie de changer de métier, je ne veux plus être enseignante, je rêve d’un travail qui me rende de l’énergie, et du temps de vie.

Je suis invitée à une dégustation Kriss-Laure.

Je n’ai pas envie mais c’est chez une amie, alors je vais faire l’effort, je préviens que je peux venir, mais j’arrive en retard et dois partir en avance. Apparemment pas de soucis, je suis la bienvenue.

Je m’installe et j’écoute l’argumentaire. Je regarde les produits. Jamais entendu parler de Kriss-Laure. Qu’est-ce que c’est ? des compléments alimentaires ? On me répond non : c’est une alimentation complète. Avec un repas Kriss-Laure on n’a pas besoin d’autre chose. Ah.

On goûte, petit coup de cœur perso pour l’entremet au capuccino.

J’explique ma situation, on me conseille deux repas par jour (un le matin à la place de mon café, et le midi à la place des crasses dans la voiture), ainsi qu’une boisson tonique : ce régime devrait me permettre petit à petit de rééquilibrer tout mon organisme et de m’aider à récupérer en bien-être et en énergie. On me dit aussi que les jours où j’ai le temps de manger normalement, je pourrai tester de faire le deuxième repas Kriss-Laure le soir plutôt que le midi.

Apparemment ce régime suffirait à rééquilibrer toute mon alimentation, je n’aurai plus besoin d’acheter mes compléments alimentaires périodiques (ferments lactiques à chaque changement de saison, vitamines et minéraux pour préparer l’hiver, plantes pour aider à dormir, cachets pour lutter contre le stress…) Tout serait déjà inclus dans cette alimentation. Et la conseillère va plus loin : à priori même le café devient un plaisir optionnel, mais plus une nécessité. Et si je consomme deux repas Kriss-Laure par jour, peu importe de quoi sera constitué mon troisième repas : j’aurai déjà eu 100% des apports nécessaires au corps humain pour être en bonne santé. L’alimentation Kriss-Laure étant par ailleurs hypocalorique, la perte de poids sera dans mon cas un effet co-latéral, je suis en grande recherche de bien-être.

On écoute des témoignages des conseillères qui sont présentes. A priori ce régime permet de résoudre bien plus qu’un problème de stress ou de temps, puisque chacune d’elles a résolu des soucis de santé, bien différents, en rééquilibrant leur alimentation.

Dans mon cas : je n’ai pas le temps. Je peux m’offrir le carton découverte, ce qui revient à avoir des repas extrêmement bien équilibrés à 3,55€ le repas (c’est moins cher que les crasses que je mange le midi, et si je décide de poursuivre en prenant une adhésion alors le prix du repas baissera à 2,90€). La boisson à consommer dans la journée, pourquoi pas. Le petit déjeuner à la place de mon café, de toutes façons qu’est-ce que j’ai à perdre ? Et si effectivement je n’ai plus besoin d’acheter tous mes compléments alimentaires, c’est encore plus intéressant. Car je suis tellement en recherche de solutions qu’il m’est arrivé de dépenser de jolies sommes pour le bonheur nos pharmaciens (que j’adore, ils ont toujours été de très bons conseils)

Je commande un carton découverte. Je remplis les papiers, on m’explique les procédures, on me conseille d’écrire sur un papier TOUS mes soucis de santé, car on m’informe qu’au fur et à mesure que mon état va s’améliorer je vais oublier tout ce qui n’allait pas. On me donne un petit mètre mesureur on me conseille de me peser et me mesurer chaque semaine, pour constater les bienfaits de l’alimentation sur ma silhouette.

Comme dit plus haut, je dois partir en avance, je m’assure avoir bien compris comment cela fonctionne, je prends mon carton et je m’en vais.

Je continue ma vie qui me glisse entre les doigts, à faire les choses par automatisme, je respecte consciencieusement les recommandations et j’avoue que je ne fais pas attention aux effets de Kriss-Laure.

Dix jours après avoir commencé, mon entourage me regarde et me dit : oh comme tu as l’air d’aller bien ! ta voix a retrouvé du tonus, tu sembles à nouveau enthousiaste, ça fait plaisir !

Ah ? Tiens oui c’est vrai. Et pourtant la saison froide commence, c’est pas le moment le plus facile 😊

Les effets secondaires positifs se multiplient : j’arrive à m’autoriser de regarder un film un soir, j’arrive à me dégager du temps libre pour des activités autres que mon travail, et je retrouve mon sens de l’humour en classe. Mes corrections sont de plus en plus rapides et sans erreurs qui traînent, même constat pour les préparations de documents pédagogiques. Je retrouve l’envie de multiplier les activités pédagogiques, comme à mes débuts je recommence à considérer comme un défi personnel que chaque élève, et surtout ceux qui ont peur ou qui ont une appréhension de ma matière, passent un bon moment. Qu’ils réalisent qu’il y a des choses qu’ils savent faire. Je retrouve le plaisir oublié de les voir fiers de leurs progrès. Et je m’amuse à chercher de nouvelles méthodes pédagogiques, de nouvelles approches, de nouvelles façons de travailler, bref : je fais ce que j’aime dans mon travail 🙂

Et oui, vous l’avez compris, je retrouve doucement le goût à mon métier.

Alors oui, bien sûr, il y a toujours des périodes plus ou moins tendues, quelques gros rushs professionnels, mais c’est comme ça qu’est notre profession. En tout cas je les affronte mieux. Mon médecin, en dehors de mes deux grossesses, je ne l’ai presque plus vu.

Alors prof, oui, mais avec Kriss-Laure, je n’envisage pas les choses différemment ! Et si aujourd’hui j’ose ce témoignage, c’est parce que je lis énormément de témoignages d’enseignants, de collègues, qui n’en peuvent plus, qui ne sortent plus la tête de l’eau, et qui ont envie de tout abandonner.

Et j’ai envie de leur dire : avant d’abandonner, essaye. Après tu choisiras. Après tout, qu’est-ce que tu as à perdre ?

Et si jamais notre ministre de l’Education Nationale me lit : vous n’arrivez pas à recruter ? Essayez Kriss-Laure pour garder vos enseignants 😊

Aujourd’hui j’ai choisi d’assumer mon alimentation Kriss-Laure et je me forme pour devenir conseillère en alimentation santé micro-nutrition. Je suis chaque jour très touchée par le nombre de collègues complètement épuisés, qui se sentent obligés de prendre les heures supplémentaires, les missions diverses et variées, en plus de leur travail déjà très prenant. J’ai envie de participer à la re-dynamisation du métier, et l’alimentation santé, j’y crois !
Je viens de déposer un dossier pour l’ouverture de cette activité en complément d’un temps partiel enseignant pour la rentrée prochaine.
Si mon témoignage vous a touché, je serai ravie d’en parler avec vous : n’hésitez pas à me contacter, même juste pour échanger, j’en serai très touchée.

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